Il laisse la parole à Rose, Soall, Mel, Nico, Luz, Alexandra, Solene, Coraline, Axelle, Alesk, Tamalou, Camille, Eléonore, Jordi, Melchior… des étudiants, des chômeurs, des dealers, des activistes, et même des membres des Black Blocs…
Désinhibés, ils parlent sans tabous de leurs angoisses, leurs joies, dans une France en crise.
Les images s’enchaînent : voix fortes, scènes de fêtes, de casse, de confrontation… une fougue accentuée par un montage sur un thème musical de Vivaldi (Sonata in D Minor, Op. 1, n°12) et de passages de rap.